La maîtresse coupa court en disant :
« C’est très bien, Caroline. C’était la réponse que
j’attendais. »
se tournant vers la classe :
« on-vient-à-l’école-pour-préparer-son-avenir » ;
vers moi, dédaigneusement :
« C’était tout à l’heure qu’il fallait réfléchir. Ça y est,
maintenant. On passe à autre chose. »
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