Tandis que, jusque-là, Nani m’avait répondu d’une voix vaseuse, à
moitié endormie, voilà quelle se dressa d’un bond sur cette dernière
réplique.
Je craignis alors que mes paroles l’eussent réveillée pour des noix et tentai de tempérer :
« Ben… oui mais…
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