Le vacarme me tapait dans la tête, ce n'était plus tenable. Il fallait que je sortisse de là. Je décidai donc de partir visiter le reste du bâtiment.
Je me frayai un chemin jusqu'à un couloir, le longeai et vis une porte sur la droite. Je l'ouvris et découvris une pièce déserte, dans laquelle je pénétrai.
Le calme, enfin !
extrait de La grande porte
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