C’est comme quand ma mère me forçait à manger sa soupe. Elle me mettait la cuillère de force dans la bouche en me disant :
« Allez ! Mange ! C’est bon. »
Moi, je ne l’ai jamais crue : elle avait beau me dire que c’était bon, mes papilles m’indiquaient formellement que c’était mauvais.
Je lui disais toujours:
« Les gens qui parlent à la radio, je ne les connais pas. Ce dont "j’ai" besoin, c’est de dont "j’éprouve" le besoin. »
extrait de Parle pour toi
1 commentaire:
Evident... Moi j'aime pas les poireaux...
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