À ce moment-là, il y eut comme un blanc. Quand je revins à moi, j’étais debout, en plein milieu du trottoir, le visage couvert de larmes. Maman me tenait la main et me regardait d’un air inquiet. Elle me parlait, me demandait si je me sentais bien. Je lui répondis que je me sentais bien, à part que j’avais très, très mal à la tête.
extrait de Ma première page
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