- À moi. Quand j’étais dans l’école et que j’avais le droit de choisir de ne pas y retourner, je me suis promis de ne jamais oublier ce que vivent les enfants qui y sont prisonniers. Si on m’avait dit plus tôt qu’on m’obligerait à y retourner, je me serais pas promis mais, maintenant, c’est trop tard : la promesse est dans mon cœur. J’ai pas envie de parler de l’école. Depuis tout à l’heure, je me force pour vous faire comprendre mais si vous voulez pas comprendre, c’est pas la peine. Laissez-moi tranquille ! J’veux aller dans ma chambre, m’allonger et fermer les yeux. »
extrait de La promesse de vérité
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