Voyant que je la tournais en dérision, la maîtresse se débrouilla pour retomber sur ses pieds et me mettre, à mon tour, en difficulté :
« Ah !... non… tu n’es pas obligée d’avoir peur des garçons… mais si tu marches au milieu du couloir, tu entraînes avec toi ta camarade qui te tient la main. Tu lui as demandé si elle était d’accord ? »
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