« Prenez vos crayons à papier ! »
J’ouvris ma trousse, vis mon crayon, le pris, le tins dans ma main dans la position pour écrire –comme on m’avait appris- et attendis. En attendant, je regardai les garçons… pour trois raisons. La première, c’est qu’ils étaient assis à proximité de moi ; la deuxième, c’est qu’ils n’étaient pas là, d’habitude ; la troisième, c’est que je voulais comprendre en quoi il était important de les « avoir à l’œil », comme disait la maîtresse.
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