Ce n’était pas du tout le cas. Il était
déjà arrivé qu’une fille oubliât, pareillement, son crayon à la maison. Dans
ces cas-là, il fallait lever le doigt, attendre d’être interrogée et le dire à
la maîtresse qui en prêtait un gentiment. C’est comme ça que le garçon aurait
dû faire mais il ne savait pas, il n’avait pas osé… par timidité envers ma
maîtresse qu’il ne connaissait pas… parce qu’il avait eu peur d’elle… parce que
sa maîtresse l’avait habitué à d’autres manières…
Il ne méritait pas d’être grondé. Il avait
besoin de recevoir des instructions claires et précises pour pouvoir s’y
conformer. C’était pour éclairer ce quiproquo que j’avais voulu me faire son
intermédiaire devant la maîtresse.
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