La maîtresse ajouta que, pourtant, mon rêve
est déjà réalisé. Cette famille à la fois vaste et groupée, elle est là, tout
autour de moi. C’est la patrie.
Oui parce que, si je remontais une de mes
lignées familiales, je me découvrirais, sans doute, une multitude de cousins et
de cousines éloignés ; des personnes qui partagent avec moi un même tronc
commun or si l’enfant hérite de tous les troncs communs du côté de son père,
auxquels s’ajoutent tous les troncs communs du côté de sa mère, ça se multiplie
à chaque génération. Considérant encore que la plupart d’entre nous sont issus
de lignées implantées sur le territoire français depuis des siècles, il y a de
fortes chances pour que nous ayons tous, plus ou moins, des ancêtres communs
les uns avec les autres. C’est
mathématique.
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