J’aurais bien voulu emporter mon rêve de Camille en vacances à
Cesson. Ça aurait peut-être aidé à vaincre le monstre parce qu’à Cesson,
je ne faisais presque jamais de cauchemars (à part celui des serpents
mais, ça, je n’en parlerai pas ici).
Eh ben, non. Rien à faire.
Même en pensant à Camille avant de m’endormir, je ne pus jamais rêver de
lui à Cesson. Cela a-t-il un rapport avec le fait qu’il était
Courbevoisien, tandis que les serpents vivent à la campagne ?
Théoriquement, non : puisque l’endroit dont on rêve est rarement celui
dans lequel on dort. Bizarre !
Enfin bref, toujours est-il que je ne fis jamais mon rêve de Camille ailleurs que dans mon lit de ma chambre de Courbevoie.
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