En d’autres termes, lorsqu’à l’heure convenue, ma mère entrait dans
la classe pour me ramener à la maison, je devais rester assise sur ma
chaise, sans bouger, et regarder ma pauvre maman comme une étrangère,
sans répondre à son attente, comme si je n’avais pas le moindre respect à
son égard ; jusqu’à ce que la maîtresse eût daigné prononcer mon
prénom.
Quand j’étais en maternelle, je vis la maîtresse imposer cela à tous les enfants tous les jours de l’année.
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