Rien à faire ! Je me réveillais à chaque fois. D’un autre côté, la
certitude de pouvoir me réveiller à volonté atténuait la peur du monstre
: il ne pouvait plus m’atteindre. Ça, c’était le bon côté des choses.
Le mauvais côté des choses, c’est que plus j’y regardais, plus il
m’apparaissait que Camille et le singe se confondaient en une seule et
même image.
Je ne rêvais pas de Camille et d’un monstre. Je rêvais d’un monstre au visage de Camille.
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