En plus, il me ridiculisait devant tout le monde en sautant sur moi et
en me faisant des bisous. Il me faisait mal en m’attrapant brutalement
par le cou pour m’entraîner derrière le donjon de l’école des garçons.
Eh, ben ! J’m’en fichais : je me réveillais et me rendormais sur un
autre rêve plus tranquille. Voilà !
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