J’entendis la voix ferme de ma mère juste à côté de moi et je
sursautai, de peur de prendre une baffe ; avant de réaliser qu’elle
venait de dire :
« A Pâques. »
Alors là, je n’y comprenais plus rien mais elle expliqua :
«
Regarde-toi ! T’as une petite mine toute blême, toute triste. On
va partir en vacances. L’air de Cesson te fera du bien. J’en parlerai ce
soir à Papa. »
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