Le jeune homme baissa la tête, l’air calme
et pensif. Il s’aperçut alors que, juste devant lui, il y avait moi, qui lui
faisais mes plus beaux sourires.
Bah ! Je me disais bien qu’il s’en
fichait, de mes sourires. J’étais trop petite pour qu’il s’intéresse à moi.
D’ailleurs, s’il gardait les yeux posés sur moi, je voyais bien qu’il avait le
regard trouble de quelqu’un qui est dans ses pensées.
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