A chaque fois, dans le rêve, je lui disais que jamais je ne le suivrais de la sorte, que s’il voulait que je vinsse avec lui derrière le donjon pour me montrer quelque chose –comme ille prétendait- il fallait qu’il me laissât marcher gentiment à côté de lui, sans me brusquer, sans me bousculer. Il ne m’écoutait jamais, cet abruti !
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