Le lendemain soir, j’allai me coucher dans mon lit qui était dans ma chambre. L’idée de Nani me paraissait un jeu amusant.
Une fois couchée, les yeux fermés, j’imaginai le décor ; j’imaginai que j’y étais et que je me transportais dans ce fameux nuage, là-haut, entre le gymnase et le donjon (si tant est qu’il y eût un donjon dans l’école des garçons). J’imaginai vaguement que j’y vis les filles de Courbevoie et que je leur dis :
« Il faut enlever la phrase : « tue le singe ». »
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