Cependant, je n'en restais pas moins pétrifiée de terreur, immobile, sur le dos, sentant la transpiration s'accumuler sous ma tête. Le tic-tac incessant du carillon m'indiquait que je n’étais pas en train de vivre un arrêt sur image, que le temps s’écoulait bel et bien. Sa sonnerie, tous les quarts d’heure, semblait me narguer :
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