Ma peur, cette fois, fut éphémère car, tout compte fait, cet homme-là n’était pas menaçant. Mais alors, que me voulait-il ?
Prudemment, j’ouvris les yeux et tournai la tête à gauche. Au fond de la pièce, à hauteur de mes bâtiments de ferme, je vis l’homme assis sur une chaise. Je clignai des yeux mais l’image n’en fut que plus nette. Je savais que ce n’étaient pas mes yeux qui le voyaient, puisqu’il n’était pas matériel, mais l’illusion était parfaite. Surtout, cette montre à son poignet…
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