Je le voyais venir, avec ses gros sabots ! Il croyait peut-être que je n’avais aucun atout dans mon jeu, qu’il ne me restait plus qu’à me coucher et me rallier au cri de guerre des adultes : « travail ; famille ; patrie ». D’abord, le sexe et la drogue, je m’en fichais, je ne savais même pas ce que c’était.
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