La seule chose qui me rassurait un peu, c'est que, comme au matin, dès lors que j'avais donné une caresse à Laurence, une seule, je n'en éprouvais plus la moindre envie. Plus de harcèlement dans ma tête, son visage m'était redevenu totalement indifférent et je pus entrer dans la cour de récréation l'esprit léger. J'espérais que, cette fois, c'était pour de bon.
« J'le f'rai pus ! »
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