Dès que nous arrivâmes, à Pâques, j'enfourchai joyeusement mon vélo et me hâtai d'aller voir Françoise. Seulement, lorsque je fus devant chez elle, je l'aperçus dans le jardin de son voisin d'en face. Alors, prise de trac, je passai mon chemin sans m'arrêter. Mon cœur était envahi de déception et d'amertume quand j'entendis, derrière moi, la voix de Françoise crier :
« Angélique ! Angélique ! »
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