À la maison, j'aurais bien aimé en parler mais j'avais honte. Et puis, je ne trouvais pas les mots. Alors, j'attendais que mes parents en parlassent en premier. Les années passaient, passaient, et personne n'en parlait jamais. J'avais tant besoin de réconfort, de crever l'abcès, de comprendre pourquoi…
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