Tous les soirs, en rentrant de l'école, Nani se plaignait de ce malheur et je vis que ma mère considérait que c'était grave. Tous les soirs, quand Nani rentrait de l'école, ma mère s'empressait de lui demander si ça s'était arrangé ; Nani fondait en larmes en disant qu'elle n'avait toujours pas de copines et notre mère était bouleversée.
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