Nous repartîmes dans le sous-bois et Éric nous fraya de nouveau un passage au milieu des broussailles. Il se donnait du mal à trouver un chemin praticable, s'emmêlait dans les branches et se faisait un peu mal parfois, mais il veillait toujours à ce qu'aucune ronce ne me touchât.
Le sentier n'ayant pas trop de branchages à cet endroit, Éric s'y arrêta, se tourna vers moi et me dit :
« Ici, on n'est que tous les deux. Montre-moi !
extrait de Éric
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