Au cours préparatoire, j'appris à lire et à écrire et bien d'autres choses avec une maîtresse gentille mais le fonctionnement de l'école, en trame de fond, était toujours le même, toujours aussi pénible et nocif. Alors quoi, y retourner une année supplémentaire ? Et après, quand est-ce que ça allait s'arrêter ? Allais-je devoir y perdre tout le reste de mon enfance ?
Alors oui, l'école clame haut et fort qu'elle apporte des connaissances mais ce qu'on y perd est considérable et ça, elle n'en parle jamais ; ça disparaît dans l'inconnu.
« Eh ben, sers-toi de tes talents maintenant ! Comme ça, même si tu les perds par la suite, ys disparaîtront pas dans l'inconnu. Tu les garderas en souvenir. »
suggéra ma mère.
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