« Comment ça : tout va bien parce que ça s’appelle l’avortement ? »
questionna ma mère. Elle ne comprenait pas mon revirement.
« Alors, si je t’envoyais chez le docteur te faire avorter, tu obéirais sans rien dire ?
- J’aurais le droit de pas obéir ? »
demandais-je prudemment.
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