Sur le coup, ça me donna envie de pleurer. Il ne fallait pas que je
pleurasse : il y avait ma mère à côté et je voulais qu’elle ne fût au
courant de rien. Pour me consoler, je me dis qu’au moins, maintenant,
j’avais la réponse à ma question : non, Camille ne rêvait pas de moi
comme je rêvais de lui.
Ben, non. Décidément, ça ne me consolait pas.
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