Pendant que ma mère faisait ses affaires à la poste, j’essayais de mettre de l’ordre dans mon esprit.
Le
regard que Camille m’avait lancé, sur les marches de la poste, était
proche de celui des garçons de mon rêve, ceux que disaient :
« Qu’est-ce que tu me veux ? J’te connais pas. C’est pas moi, ton amoureux. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire