Cette vision, je l'avais perçue comme une image déréglée venant de mon mental effrayé. Il fallait que j'en parlasse avec la maîtresse, afin qu'elle comprît en quel état de choc je me trouvais et que je ne pouvais pas continuer comme ça. J'avais besoin d'une grande personne pour me rassurer à la manière de ma mère ou de ma grande sœur qui m'auraient dit :
« C'est rien, t'as rêvé. Tout va bien. »Au fond, je savais que, pour de vrai, ma tête était toujours bel et bien sur mes épaules mais j'avais besoin d'entendre une grande personne me le confirmer.
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