Aussitôt, Anne et Fabienne rappliquaient :
« Pourquoi tu pleures ?
- C'est rien. Laisse béton !
- Alors, pourquoi tu pleures ? »
À chaque fois, il fallait que je fisse l'effort de formuler verbalement la signification de mes larmes, de narrer les faits dont je venais d'être victime une fois de plus.
À l'issue de ma plainte, nulle n'était jugée. On me demandait la raison de mes larmes, je la donnais et c'était tout.
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