« Elle s'appelle Angélique. »
Alors, je me mis en colère et repoussai ses bras en rouspétant :
« J't'ai dit d'me lâcher. Faut tout l'temps qui m'énerve, çui-là ! D'abord, t'es qu'un fantôme, t'existe pas. Lâche-moi, maintenant ! »
Il me lâcha enfin et je me sentis tomber à la verticale, comme une poupée que le Père Noël lâche au-dessus d'une cheminée.
Aussitôt, j'entendis la voix de ma mère :
« Angélique, debout ! Il est sept heures. »
Déjà ! J'avais l'impression de n'avoir pas encore dormi, depuis que je m'étais couchée. Pourtant, je ne m'étais jamais sentie autant en forme au réveil.
extrait de La fin du rêve
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