L'arbre était tellement chargé de fruits qu'il y en avait beaucoup qui, tombés de ses branches, étaient éparpillés par terre, tout autour de lui ; des gros, de toutes les couleurs aussi, l'air si joyeux qu'on aurait dit des jouets.
Quel bonheur de vivre pour faire un rêve aussi fantastique !
D'un autre côté, il n'était pas inhabituel que je n'eusse pas de manteau lorsque je voyais, autour de moi, les murs et le papier peint. On aurait dit que j'étais à la maison, avec l'arbre, comme s'il était notre nouvel animal de compagnie.
extrait de L'arbre à merveilles
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